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Vendredi 30/10/15, 7:10, gare sud de Jinghong. Un petit autobus miteux s’avance dans la cour. Impossible de caser nos bagages dans les soutes : tout est plein ! L’habitacle est tout aussi bondé. Il ne reste que 2 sièges libres : les nôtres. Dans l’allée sont entassés des bagages de grandes marques contrefaites sur déjà 2 épaisseurs. Nous ajoutons nos sacs au chantier et accédons à nos places en marchant par-dessus les sièges. C’est parti pour 11h de trajet ! Bienvenue à bord du bus journalier Jinghong – Houay Xai.

Mohan – Boten : adieux la Chine, bonjour Laos !

Quelques heures après notre départ chaotique, le bus nous dépose au poste frontière de Mohan. Une ribambelle de vendeurs proposent de racheter nos Yuans contre des Dollars US pour payer le visa Laotien. Inutile de préciser que le taux de change n’est pas des plus avantageux… Peu importe, de toute manière on peut acheter son visa en Yuan chinois, Dollars US ou Kip laotiens. Un coup de tampon à la frontière Chinoise et nous voilà sorti du Xishuanbanna et de la Chine…
3km de no man’s land séparent les 2 pays. À Boten, l’entrée côté Laos, le douanier nous annonce 560CYN !!! Soit 15$US (chacun !) plus cher que la normale ! Calculette magique ou bakchich ? Finalement on aurait peut-être mieux fait d’acheter des Dollars aux charlatans de Mohan. Nous n’avons pas assez pour payer, nous avions gardé juste la somme nécessaire pour le prix normal et la conversion au taux normal ! Le douanier n’en a que faire. Si nous ne pouvons pas payer ce qu’il demande nous n’entrerons pas ! Tous les membres de notre bus sont déjà passés de l’autre côté. Nous voilà plantés là comme deux ronds de flancs en zone internationale lorsque le chauffeur du bus repointe le bout de son nez pour nous mettre la pression : tout le bus nous attend. Nous réussissons à lui faire comprendre la situation. Il nous avancera l’argent qui nous manque. Ouf !

Arrivés à Houay Xai, nous nous faisons héler par un grand blond ! Il cherche un plan pour trouver une chambre bon marché. Nous finirons dans un bungalow tous les 3, lui installé par terre sur un petit matelas d’appoint. Paul est Polonais, mais vit en France depuis 9 ans. Il aime la Bretagne… et la bière ! On l’apprendra plus tard à nos dépends…

Le slow boat Houay Xai – Luang Prabang

Ici pas de route le long du Mékong, nous nous replions donc sur le bateau. D’après nos infos, nous nous apprêtons à embarquer sur un vieux bateau, à destination de Luang Prabang, avec moteur pétaradant et assourdissant. Pas de sièges, mais des sacs et marchandises entassées partout, et des locaux rentrant dans leurs villages qui jalonnent le Mékong. Ça nous plaisait bien comme idée… Jusqu’à ce qu’on découvre la réalité, une fois délestés de 250000 Kip chacun !
Le bateau est en fait rutilant, peinture neuve, petits rideaux, rangée de sièges avec coussins, et 70 occidentaux à la queue leu leu pour mettre leurs sacs dans la soute ! De toutes nos infos, une seule tenait la route : le moteur fait un boucan du diable !

Embarquement immédiat pour le slow boat !
Embarquement immédiat pour le slow boat !

Nous passons une première journée,  dans un panorama relativement ennuyeux, à discuter  avec quelques voyageurs sympas ou a jouer de la guitare sur le pont. Vers 17:00 le bateau s’amarre à Pakbeng. Ville façade faite d’une rue bondée d’hôtels et restaurants et où l’électricité ne marche que quand les touristes sont là. Certains ont payé leur nuit 115000 Kip par personne en réservant directement sur le bateau auprès du capitaine. D’autres finirons par négocier une nuit à 20000 Kip par personne. Nous qui étions partis avec l’idée de camper sur la plage avec Paul et deux autres jeunes français pour une petite nuit sous les étoiles, nous finirons finalement totalement saouls, échoués dans une chambre d’hôtel. Passer une soirée avec un Polonais, c’est prendre des risques inconsidérés pour son foie…

Luang Prabang, ce mini Disney Land Paris !

À Luang Prabang, nous perdons Paul. On le retrouvera plus tard… C’est une longue histoire, revenons à notre voyage !
Luang Prabang, est une petite bourgade coloniale située sur une jolie péninsule à la jonction d’une rivière et du Mékong. Classée à l’UNESCO, elle a conservé son charme, sa culture et un peu de son art de vivre, savant mélange franco-laotien. Luang Prabang vit aujourd’hui essentiellement grâce à l’essor du tourisme qui envahi la région. Les prix flambent, les sourires sont tout autant absents que la sympathie des habitants qui se moquent ouvertement des touristes…
En même temps il y a de quoi. Certains se comportent vraiment de manière inqualifiable !  Français principalement, ils envahissent les rues, claquent leur fric à tout va, et aiment boire la nuit tombée ! Cela ne serait, somme toute, pas très grave si  certains ne se pensaient pas tout permis. Outre leur omniprésence, le plus désagréable avec ces touristes-là c’est leur comportement. La culture et l’histoire locale ? Rien à faire ! Les règles de bienséance ? Au diable ! On stoppe les pérégrinations des moines pour les prendre en photo comme de vulgaires animaux à bout portant, ou bien, alors qu’on est censé se couvrir respectueusement les épaules et les genoux, on croise des hommes qui se promènent allègrement torse nus, des femmes en mini-short / débardeur ultra-moulant et autres tenues sexy. La palme revient à 2 américaines vues en string se baignant dans un bassin de cascade sacrée !
Pourtant les règles de comportement à respecter au Laos sont simples et affichées partout ! Il y a quelque chose qui nous échappe totalement dans leur attitude… Alors qu’en France, on aime et on insiste pour que les étrangers respectent nos us et coutumes, on se permet lorsqu’on voyage de ne pas respecter celles des autres pays. Quelle image donnent-ils du peuple français ? Le choc est certainement amplifié par notre arrivée ici, relativement rapide après 3 mois au calme sur le plateau tibétain, mais nous savions pourtant qu’en pénétrant dans l’Asie du sud-est nous entamerions une longue suite de rencontre avec ce type de personnes. Fort heureusement, même si ces gens sont ceux que l’on remarque le plus, nous avons rencontré un grand nombre de voyageurs fort sympathiques et soucieux du respect de la culture locale.

Vue sur Luang Prabang depuis le sommet du Mont Phou Si en fin d’après-midi
Vue sur Luang Prabang depuis le sommet du Mont Phou Si en fin d’après-midi

Outre se relaxer et faire un tour de la ville et de ses temples, il n’y a pas grand-chose à faire à Luang Prabang. Nous optons pour un cours de cuisine intéressant par ses recettes, mais mou de chez mou à cause de la nonchalance de nos professeurs. En revanche, Luang Prabang offre une bonne base pour explorer la région nord. De nombreuses agences proposent des treks dans la région, dans les petits villages ou même des excursions dans des centres de réhabilitation d’éléphants. Et dans la périphérie se trouvent de magnifiques cascades…

Les cascades de Kuang Si et Tad Sae

Respectivement à 30 et 15 kilomètres environ de Luang Prabang, ces cascades sont LE truc à voir quand on est dans le coin. Les tuk-tuks proposent à tout venant le voyage moyennant un joli billet. Les plus courageux y vont en louant un vélo. Les autres, comme nous, louent un scooter pour une coquette somme, mais cela permet de visiter les deux cascades dans le même journée. Hé oui, les chauffeurs de tuk-tuks eux vous pressent le pas une fois sur place et vous ramènent ensuite en ville d’où il faut repayer pour aller voir l’autre cascade !

Une des petites chutes le long de la balade à Kuang Si
Une des petites chutes le long de la balade à Kuang Si

Nous arrivons à Kuang Si vers 8:30. Bien matinaux, mais nous voulons profiter un peu de la tranquillité du parc pour photographier les chutes. Après une belle glissade de Quentin avec le trépied et l’appareil photo, au cours de laquelle tout a failli finir à l’eau, nous passons 2 bonnes heures seuls dans le parc. Paisible balade, perdue le long de la rivière, qui tous les 50 ou 100 mètres saute du haut d’un rocher, forme une belle cascade, et vient terminer sa chute dans un bassin d’eau turquoise légèrement opaque, presque laiteuse. Vers 11:00 les premiers groupes de visiteurs arrivent, et la balade prend alors une tournure de centre aéré… Nous nous échappons vite par la forêt pour monter au sommet de la grande cascade, clou du spectacle de la balade, pour admirer la vue au-dessus de la canopée tropicale. En descendant, nous tombons sur un type beuglant primitivement sur un des ours du centre de réhabilitation anti braconnage du parc, parce qu’il ne dormait pas face à son appareil photo et que Monsieur voulait sa photo de nounours… Non mais franchement, où est la limite de la débilité de ce type ?

Pour accéder à Tad Sea, il faut emprunter une petite barque à moteur sur quelques centaines de mètres. Nous sommes assis le cul au niveau de l’eau sur une caisse de bouteilles en plastique. Le Mékong défile sous nos yeux au son du moteur de tondeuse de la barge. Son eau marron s’infiltre par endroits dans l’embarcation. Il y a un petit air d’Indiana Jones sur un fleuve d’Amazonie… Nous revenons vite à la réalité lorsque nous découvrons Tad Sea : éléphants dressés pour aller faire des tours en forêt, plateformes de bois au-dessus des bassins d’eau, parcours de tyrolienne et grande terrasse en bois avec transats pour touristes à cocktails.

Cascades de Tad Sae, loin des plateformes à touristes, dans la forêt…
Cascades de Tad Sae, loin des plateformes à touristes, dans la forêt…

Malgré ce gros air de Club Med, le lieu reste empli de charme. Les rapides coulent entre les troncs d’une forêt ancestrale aux lianes qui pendouillent, les chutes forment de jolis bassins à différents niveaux, et comme d’habitude, il suffit de s’éloigner de deux pas pour trouver un calme incroyable. Alors que l’ensemble des groupes organisés et autres personnes venues se dorer la pilule étaient concentrés sur leur bronzage, une éléphante a plongé dans un des bassins plus bas. Perché sur un des pontons, nous avons pu lui gratouiller le crâne et la trompe durant un bon moment. Les autres là-haut n’ont rien remarqué ! Tant mieux !

Paklay, le retour à la campagne

Nous quittons rapidement Luang Prabang pour faire un retour dans la pampa ! Nous devons retrouver Cédric à Vientiane. Cédric est un ami français que nous n’avons pas vu depuis notre départ. Il sera à la capitale pendant seulement 2 jours ! Il ne faut pas se louper ! Nous avons quelques jours devant nous, et un choix s’offre à nous : partir sur Vang Vieng et sa jolie région, mais dont la réputation est pire que celle de Luang Prabang en terme de touristes à fiesta complètement irresponsables, ou bien passer par Paklay, perdue sur les rives du Mékong sur laquelle on ne trouve quasiment pas d’information sur Internet. Nous portons donc tout naturellement notre choix sur cette seconde destination.

Quelques heures de bus plus tard, nous sommes déposés aux abords d’un village aux rues de terre battue. Fait de maisons de bois et bambou parfois de guingois, Paklay est pile ce qu’il nous fallait. Ici il n’y a rien à faire, si ce n’est déambuler dans les ruelles du village. Nous passerons une journée occupés par cette activité passionnante ! Salutations chaleureuses des locaux étonnés de nous voir ici, sourires et rires des enfants, animaux dans les rues… Nous découvrons une toute nouvelle espèce de poule aux airs de dinosaure que nous surnommerons Poulociraptor !
Il y a un nombre incroyable de petits hôtels en ville… Nous ne comprenons pas vraiment pourquoi jusqu’à ce qu’un type éclaire notre lanterne : il y a encore quelques années, un slow boat partait de Vientiane pour venir jusque-là. Aujourd’hui, le trafic est interrompu. Seuls quelques cargos et bateaux de croisière de luxe circulent encore. Nous quitterons donc Paklay en bus, jusqu’à mi-chemin de Vientiane d’où nous marcherons les 80 derniers kilomètres

Coucher de soleil sur les bords du Mékong à Paklay
Coucher de soleil sur les bords du Mékong à Paklay

Jusqu’à Vientiane

Houayla, minuscule bourgade plantée sur les rives du Mékong. Ici le fleuve a des allures marécageuses : de nombreuses touffes d’herbes et rochers tachent la surface de l’eau. Nous marchons sous le regard à la fois surpris et amusé des fermiers et marchands des petits villages. Ici le contact est beaucoup plus facile, et ne passe pas par les billets de banque. Dans chaque petit resto où nous nous arrêtons le temps de manger une soupe Pho ou boire un Coca, on nous questionne dans un anglais approximatif. Curieux, ils veulent tout savoir : « Pourquoi vous marchez ? Pourquoi vous n’avez pas un vélo au moins ? D’où vous venez ? Où allez-vous ? … « 

La campagne le long du Mékong, quelque part entre Paklay et Vientiane
La campagne le long du Mékong, quelque part entre Paklay et Vientiane

Le soir nous installons la tente dans le jardin d’un temple en terrasse sur le Mékong. Un bambin passe sur son petit vélo, nous voit, fait de grands yeux étonnés et disparait en pédalant à toute vitesse. Bientôt c’est tout les mômes du village qui débarquent pour venir nous observer. Et une fois leur timidité tombée ce sont de grands rires et jeux qui se mettent en place autour des drôles de falangs (étrangers) que nous sommes. Un superbe coucher de soleil presque rosé vient sublimer cette scène pleine de beauté et d’innocence enfantine, tandis que les pêcheurs remontent leur barges sur la plage. Les gamins disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés et nous restons seuls avec pour unique compagnon un magistral et gigantesque arbre probablement millénaire entouré de Bouddha dorés.

Le même scénario se répètera le lendemain, journée presque parfaite si ce n’est l’extrême chaleur qui nous fait suer des litres et des litres d’eau. Nous devons abaisser notre moyenne kilométrique horaire et marcher plus longtemps pour couvrir la même distance. Mais encore une fois nos efforts seront récompensés par les rencontres et une nuit dans un temple aux peintures dignes des grandes fresques des palais français ou italiens illuminé par les rayons de l’astre solaire couchant.
Ces quelques jours de marche nous ont fait réaliser que nous n’avions jusque-là certainement pas choisi les bons coins à visiter. Le Laos a encore de superbes trésors cachés et de nombreux habitants aux sourires sincères qui ne voient pas en tout occidental un portefeuille sur pattes.

Bonne nuit…

M. & Mme Shoes


 

Visages d’Asie :

3 Des Petites Gamines Venues Nous Observer Durant Notre Nuit Au Temple Entre Paklay Et Vientiane
Petit Bout De Chou Dans Les Rues De Luang Prabang
Héritage De La Colonisation Française, Ici On Joue à La Pétanque !
L'intrue De La Série, L'araignée à Cornes...


Bons plans / Infos pratiques :

Slow boat à Houay Xai

  • Départ tous les jours à 11:00 du matin pour arriver aux alentours de 17:00 ou 18:00 à Pakbeng
  • Assurez-vous d’arriver en avance afin d’être certain d’avoir un siège.
    Privilégiez les places à l’avant du bus. Le moteur est extrêmement bruyant à l’arrière et les toilettes peuvent offrir un vilain relent malodorant…
  • Prix du ticket Houay Xai > Luang Prabang : 250 000 Kip / personne
    N’achetez pas vos tickets dans les agences en ville, ils prendront une commission. Allez directement sur place et achetez au  bureau du slow boat.
    On vous proposera d’acheter un billet pour Pakbeng uniquement. A moins que vous ne souhaitiez vous y arrêter pour visiter les environs, prenez le trajet complet dès le départ. Sinon il faudra racheter un second ticket à Pakbeng, cela vous coutera plus cher.
  • Prévoyez votre eau et votre nourriture pour les 2 jours si possible. Il y a un petit bar à bord qui vend quelques articles, mais à un prix bien gonflé. A Pakbeng, il y a des petites échoppes aux prix un peu élevés aussi.
    Vos bagages seront placés dans la soute à l’avant du bateau. Assurez-vous d’avoir avec vous tous vos effets dont vous pourrez avoir besoin ou fragiles (ils bourrent les sacs bien comme il faut !)
  • Se loger à Pakbeng : Attention, le chauffeur vous proposera de réserver l’hôtel pour vous. Refusez ! Ses prix sont carrément au-dessus du marché. Une fois à Pakbeng, refusez les services de porteurs de bagages ou autre navette. La ville est à quelques dizaines de mètres. On y trouve facilement des chambres entre 20 000 Kip et 100 000 Kip
  • Certains bateaux sont mieux que d’autres… Sur ce coup c’est un peu la loterie 😉

Luang Prabang :

  • Pour aller voir les 2 cascades dans la même journée mieux vaut louer un scooter. Attention néanmoins, les prix de Luang Prabang sont environ 2 fois plus chers que dans le reste du pays. Un automatique vous coûtera autour de 100 000 – 120 000 Kip (plus l’essence). Un non-auto environ 80 000 Kip (plus l’essence).
    Un tuk-tuk pour Kuang Si uniquement vous coutera environ 180 000 – 200 000 Kip. Partager la course revient autour de 40 000 à 50 000 Kip / personne.
  • Pour les cascades de Kuang Si, prévoyez d’arriver tôt le matin. Le site ouvre apparemment à 8:00. L’entrée coûte 20 000 Kip / personne.
    Le parking coûte 5000 Kip pour un scooter.
    Les groupes commencent à arriver en général autour de 10:30 ou 11:00
  • Pour les cascades de Tad Sae, le parking du scooter coûte 2000 Kip.
    Le bateau coûte 10 000 Kip / personne
    L’entrée des cascades coute 15 000 Kip / personne
  • Nous avons essayé le cours de cuisine de Tamnak Lao et avons été un peu déçus par la qualité des cours.
    Le prix du cours est de 250 000 Kip / personne. Il inclut, un petit tour au marché, un livre comprenant une douzaine de recettes et la présentation des ingrédients de base (très bien foutu le livre par contre), la démonstration de 7 plats puis la réalisation de 5 d’entre eux.
    La nourriture et les recettes sont très bien, mais malheureusement, la nonchalance les professeurs rend le fait de faire un cours totalement inutile. Autant prendre la recette et se débrouiller seul.

Cet article comporte 9 commentaires

  1. oh yes i am the first!!

    beaux petits villages, une fois sorti des zones touristiques.
    très beaux effets sur les cascades.
    la petite fille au tabouret est magnifique et puis le reste des colonies avec les inscriptions en français à l’école et la pétanque.
    PS : tu corrigeras les « us et coutumes »

    gros bisous (ici on est toujours le 2/12 il est 19h00 et on boit l’apéro pour ton anniversaire)

  2. c’est sur que vous avez du passer pour des extraterrestres auprès des laotiens s’ils sont habitués aux bon vieux touristes beaufo-clubmediens…!

    mais bon une fois hors de vue de ces colonies de vacances pour adultes friqués, ça a l’air plutôt sympa ce pays!
    les photos des cascades en expo longue sont superbes, les vues depuis votre « terrain de camping », et les couchers de soleil aussi!

    j’aime bien aussi l’éléphant curieux, par contre on n’a pas droit à une petite photo de la Poulociraptor?

  3. Bonjour avec une journée de retard bon anniversaire mon Quentin gros bisous
    Il est 9h14 votre message à dû arriver cette nuit hier soir je n’avais rien et je ne sais pas répondre sur Facebook .Votre ballade est intéressante avec les cascades et temples bonne suite bisous

  4. Bonjour les enfants , toujours de nouvelles découvertes, la cascade et les couchers de soleil sont superbes .
    Quentin tu ne connais pas l’expression saoul comme un Polonais ,??? Tu aurais dû te méfier .
    Bonne route à bientôt et grosses bises .

  5. Cascades superbes et couchers de soleil splendides sur le fleuve…Les chemins de traverse, il n’y a que ça de vrai pour éviter les gougnafiers de touriste ! On est parfois pas bien fiers de nos congénères…Je suis sûr que Mariette a craqué avec le dumbo…
    Bises…

  6. L’araignée a corne sous la tente je ne dort pas.((piqures mortel ou inoffensif ? ?))quoi qu’il en soit belle bête et belle photo
    Votre desir de marché me fait mal aux pieds mais la joie est chère payer je suis admiratif ! ! ! ! Je suis d’accord avec Gaultier ou est POULOCIRAPTOR.
    Mariette sur la pirogue m’as fait pensé a Venise ! ! ! !
    Tout est super MERCI.
    GENTILS FOUS PRENEZ SOINS DE VOUS

  7. Je lis votre ressenti après lecture ce matin d’un superbe article sur Luang Prabang dans National Geographic qui dépeint un tout autre tableau de la ville. Pour le coup ça contraste totalement avec votre expérience. Vraisemblablement, la vile est surtout ses alentours sont magnifiques, donc forcément ça attire du monde ! C’est vrai que ça peut-être oppressant de se retrouver avec des foules de voyageurs, surtout si l’on a pas le même objectif en voyageant. J’ai des amis qui y ont séjourné en janvier, ils ont trouvé la ville magnifique, mais comme vous ont étaient dérangés par l’animation à outrance. C’est le prix du tourisme ! Un peu dommage, mais bon vous avez trouvé votre petit coin à l’abris, et les paysages ont l’air top !

  8. Très bon article, l’humour du début est sympathique 🙂
    Je retournerai voir Tad Sae (tres belles photos!) une prochaine fois, je suis allé voir d’autres chutes d’eau mais… Saison sèche plus d’eau ^^ ça fait déjà moins waterfall !
    Mais sinon j’ai adoré le Laos et Luang Prabang également. J’ai trouvé les gens plutôt sympa pour ma part. Beaucoup de français c’est vrai mais ça restait dans le raisonnable. Merci, bonne continuation, tchuss ! 🙂

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